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   Les sacs à dos
  Nous avons profité d’un week-end à Montréal pour magasiner les sacs à dos avec un concentré d’options intégrées : Le petit sac accroché, la couverture de pluie, le multi-accès à la poche principale. Et comme, plus on part longtemps, moins on emporte de bagages, nous partons avec des 60/70 litres. Le tout pour un prix défiant toute concurrence au taux du dollar canadien !
Le contenu varie un p’tit peu pour chacun mais voici l’essentiel et le général !
De retour : Le contenu du sac s'est réduit progressivement tout au long du voyage... il faut faire de la place pour les souvenirs ! Nous avons acheté des habits chauds en Amérique du Sud pour les glaciers et nos périgrinations andines. On a donné la majorité de la trousse à pharmacie dans des dispensaires quand on ne jouait pas aux "French doctors".
 
 
2/3 T-shirts manches courtes
1 T-shirt manches longues
1 polaire
1 sweat-shirt
2 pantalons
1 paire de chaussures de marche
1 paire de sandales ou espadrilles
1 paire de tongs
3 underwears
2 soutifs
3 paires de chaussettes
1 maillot de bain
1 foulard
1 mouchoir
1 poncho et/ou coupe vent
Lunettes de soleil
1 serviette de toilette (surtout pas en micro-fibre)
1 duvet
1 sac à viande
1 hamac (c'est du luxe !)
Accessoires de salle de bain !
  Lampes de poche ou frontales
Bols et décontaminant
Couverts
Allumettes
Antivols et cadenas à code
Réveil
Corde
Épingles à linge
Kit de couture
Adaptateur universel
Bouchon lavabo universel
Savon sans eau
Jeux de cartes
Guides (par zones car les potes qui nous rejoindront feront le ravitaillement et on échange dans les auberges)
4 livres (soumis à la loi du ravitaillement/échange aussi)
Carnets et crayons
Appareils Photos
2 Hard drives
Petites jumelles
 
 
Les anti-bobos
La trousse à pharmacie est constituée essentiellement de médocs pour maux de têtes, estomacs en vrac (oui oui ça sert beaucoup !), petits ou moyens bobos genre coupures, brûlures, ampoules, soit des bandes, quelques pommades, du désinfectant, du collyre et autres stérilstrip. On prend aussi un aspi venin, parce que toujours ( !).
On ne se promène pas avec une mallette blanche à croix rouge, on répartit dans les 3 sacs évidemment pour le poids et pour ne pas être en slip si un sac est fouillé ou piqué.
On n’oublie pas les petits outils essentiels comme un coupe-ongle, une paire de ciseaux, une pince à épiler ou encore des gants…
  Piqûres: les bonnes et les mauvaises !
On vérifie les vaccins, la fièvre jaune, la typhoïde notamment et autres classiques auxquels on ne fait pas toujours attention.
Pour le palu, la malaria, la dengue, quelles que soient la taille et l’origine du moustique, on fait le pari de ne pas prendre de traitement car c’est trop lourd à gérer et pas recommandé de toute façon à long terme. Et puis, l’histoire paludéenne d’un pote fait que l’on se rencarde quand même auprès de l’Institut Pasteur sur les zones à risques top niveau… Notre passage de quelques jours en Amazonie nous « oblige » à plus d’un mois de traitement.
http://www.pasteur.fr/externe
 
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